Trois pays, trois révoltes, deux réactions distinctes sur la question migratoire

Quand au Royaume uni les moins audibles et les moins visibles tentent une révolte, ça se traduit dans les urnes par un rejet du projet européen et, notamment, de ce qu’il implique en termes migratoires.

Quand aux États unis les moins audibles et les moins visibles tentent une révolte, ça se traduit dans les urnes par un rejet de la mondialisation, et notamment, de ce qu’elle implique en termes migratoires.

Quand en France les moins audibles et les moins visibles tentent une révolte, ça se traduit dans les rues (et sur les ronds-points) par un rejet de l’inégalité (pouvoir d’achat, accès au service public, consentement à l’impôt, etc.). La question migratoire, pourtant très visible depuis 2015, est à peine évoquée par les « révoltés ».

Alors qu’on ne vienne pas nous dire que la France est raciste, que les Français sont racistes, qu’il existe un système discriminant généralisé en France. Oui la question migratoire existe (10 millions d’électeurs de la famille Le Pen ce n’est pas rien). Oui il existe des discriminations en France. Mais non, le racisme n’est pas généralisé. Et oui, nous sommes mieux lotis dans notre modèle universaliste que dans les modèles communautaristes qui existent ailleurs en Occident et en Orient.

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